Il y a toujours des gens qui m'envoient des messages privés pour me demander : « Le marché est si volatil, avec peu de capital, est-ce que ça vaut encore le coup d’entrer ? »
À chaque fois que je vois cette question, je repense à l’époque où il ne me restait que 1500 USDT sur mon compte. Je surveillais les contrats sans même oser passer en plein écran, de peur de tout perdre sur un mauvais clic. Et pourtant ? C’est avec ce petit capital de départ que j’ai réussi à le faire fructifier jusqu’à 30 000 USDT, soit un rendement de 20 fois la mise.
Au début, j’étais comme la plupart des petits porteurs : je fonçais à fond sur les actifs à la mode, je poursuivais les hausses, je paniquais sur les baisses, et je me faisais balayer par les gros investisseurs au point de douter de moi-même. Après avoir encaissé plusieurs lourdes pertes, j’ai compris : le trading, ce n’est pas une question d’intelligence, mais de savoir garder le rythme et gérer son exposition.
**Comprendre d’abord comment fonctionne le « compounding »**
Ce n’est pas du tout un pari all-in, mais un modèle de capitalisation où l’on fait rouler les profits pour générer encore plus de profits. Quand j’ai ouvert ma première position avec 1500 USDT, je n’osais utiliser que 30 % de mon capital. Dès que j’atteignais 10 % de gain, je verrouillais immédiatement les profits — je séparais l’argent gagné pour en faire la mise de la prochaine session, et mon capital initial de 1500 USDT restait protégé comme une forteresse. Avant chaque trade, je fixais à l’avance mes stops de perte et de gain, sans tergiverser ni hésiter. Pendant que d’autres rêvaient de devenir riches en une nuit, je ne pensais qu’à engranger de petits profits sur chaque position. C’est ainsi que, petit à petit, mes gains se sont accumulés, et ce n’est qu’alors que j’ai augmenté la taille de mes positions. Ce sentiment que « la boule de neige grossit » est bien plus rassurant que la recherche de gains explosifs.
**Si je me trompe, je sors vite ; si j’ai raison, j’augmente la mise**
Peu importe l’agitation du marché, la tendance finit toujours par transparaître — suivre la tendance, c’est être du bon côté ; lutter contre le risque, c’est être son ennemi. Avec 1500 USDT, j’agissais comme un sniper : je ne bougeais pas sans conviction, mais une fois la tendance confirmée, j’augmentais progressivement ma position pour laisser courir les bénéfices. Si je me trompais, je coupais mes pertes sans hésiter, jamais dans l’espoir d’un « rebond ». Beaucoup échouent parce qu’ils n’osent pas « couper » à temps. Si j’ai pu réussir, c’est parce que j’ai toujours su reconnaître mes erreurs — couper ses pertes, ce n’est pas perdre, c’est préserver du capital pour une prochaine opportunité.
**La réussite en compounding, c’est une question de rythme, pas de chance**
Pour passer de 1500 USDT à 30 000 USDT, il ne m’a fallu que 43 jours. Jamais d’all-in, aucune info privilégiée, seulement une stratégie de gestion des positions et une discipline de fer. J’ai résumé cette méthode en « stratégie de compounding en trois phases » : phase de protection du capital initial, phase de doublement des profits, phase de gestion psychologique. Plusieurs amis autour de moi ont suivi ce schéma et la plupart ont multiplié leur capital. Mais le plus difficile, c’est de savoir « jusqu’où aller » — quand augmenter la mise, quand sécuriser les profits. C’est souvent à cette étape que beaucoup échouent.
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TrustMeBro
· 12-08 22:17
稳住就是赢
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GateUser-2fce706c
· 12-08 16:48
Le marché est en hausse, saisissez l'opportunité
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MysteryBoxOpener
· 12-08 16:42
Même de petites sommes doivent être placées sous le signe de la sécurité.
Il y a toujours des gens qui m'envoient des messages privés pour me demander : « Le marché est si volatil, avec peu de capital, est-ce que ça vaut encore le coup d’entrer ? »
À chaque fois que je vois cette question, je repense à l’époque où il ne me restait que 1500 USDT sur mon compte. Je surveillais les contrats sans même oser passer en plein écran, de peur de tout perdre sur un mauvais clic. Et pourtant ? C’est avec ce petit capital de départ que j’ai réussi à le faire fructifier jusqu’à 30 000 USDT, soit un rendement de 20 fois la mise.
Au début, j’étais comme la plupart des petits porteurs : je fonçais à fond sur les actifs à la mode, je poursuivais les hausses, je paniquais sur les baisses, et je me faisais balayer par les gros investisseurs au point de douter de moi-même. Après avoir encaissé plusieurs lourdes pertes, j’ai compris : le trading, ce n’est pas une question d’intelligence, mais de savoir garder le rythme et gérer son exposition.
**Comprendre d’abord comment fonctionne le « compounding »**
Ce n’est pas du tout un pari all-in, mais un modèle de capitalisation où l’on fait rouler les profits pour générer encore plus de profits. Quand j’ai ouvert ma première position avec 1500 USDT, je n’osais utiliser que 30 % de mon capital. Dès que j’atteignais 10 % de gain, je verrouillais immédiatement les profits — je séparais l’argent gagné pour en faire la mise de la prochaine session, et mon capital initial de 1500 USDT restait protégé comme une forteresse. Avant chaque trade, je fixais à l’avance mes stops de perte et de gain, sans tergiverser ni hésiter. Pendant que d’autres rêvaient de devenir riches en une nuit, je ne pensais qu’à engranger de petits profits sur chaque position. C’est ainsi que, petit à petit, mes gains se sont accumulés, et ce n’est qu’alors que j’ai augmenté la taille de mes positions. Ce sentiment que « la boule de neige grossit » est bien plus rassurant que la recherche de gains explosifs.
**Si je me trompe, je sors vite ; si j’ai raison, j’augmente la mise**
Peu importe l’agitation du marché, la tendance finit toujours par transparaître — suivre la tendance, c’est être du bon côté ; lutter contre le risque, c’est être son ennemi. Avec 1500 USDT, j’agissais comme un sniper : je ne bougeais pas sans conviction, mais une fois la tendance confirmée, j’augmentais progressivement ma position pour laisser courir les bénéfices. Si je me trompais, je coupais mes pertes sans hésiter, jamais dans l’espoir d’un « rebond ». Beaucoup échouent parce qu’ils n’osent pas « couper » à temps. Si j’ai pu réussir, c’est parce que j’ai toujours su reconnaître mes erreurs — couper ses pertes, ce n’est pas perdre, c’est préserver du capital pour une prochaine opportunité.
**La réussite en compounding, c’est une question de rythme, pas de chance**
Pour passer de 1500 USDT à 30 000 USDT, il ne m’a fallu que 43 jours. Jamais d’all-in, aucune info privilégiée, seulement une stratégie de gestion des positions et une discipline de fer. J’ai résumé cette méthode en « stratégie de compounding en trois phases » : phase de protection du capital initial, phase de doublement des profits, phase de gestion psychologique. Plusieurs amis autour de moi ont suivi ce schéma et la plupart ont multiplié leur capital. Mais le plus difficile, c’est de savoir « jusqu’où aller » — quand augmenter la mise, quand sécuriser les profits. C’est souvent à cette étape que beaucoup échouent.