#数字货币市场洞察 La frontière entre la finance traditionnelle et le monde des cryptomonnaies vient une nouvelle fois d’être franchie.
Andy Beal, important soutien de Trump, a récemment lancé sa banque Monet sur le marché des prêts adossés à des actifs numériques. Cette banque communautaire, dont les actifs ne dépassent pas 6 milliards de dollars, affirme vouloir devenir un fournisseur d’infrastructures pour le secteur crypto. Qu’un établissement de cette taille ose s’engager sur ce terrain, cela a en effet surpris le marché.
À certains égards, c’est très symbolique. Autrefois, les grandes institutions financières fuyaient les activités liées aux cryptomonnaies ; aujourd’hui, même les petites banques commencent à prendre les devants, preuve que la régulation du secteur s’accélère. Pour les investisseurs particuliers, disposer d’un canal de prêt adossé à une banque traditionnelle peut théoriquement améliorer l’efficacité de l’utilisation des fonds. Avec une meilleure liquidité, l’activité du marché s’en trouvera également stimulée.
Mais attention à ne pas s’emballer trop vite.
Est-ce qu’une institution de la taille de Monet dispose vraiment des capacités de gestion des risques et des bases technologiques nécessaires ? La volatilité des actifs numériques dépasse largement celle des collatéraux traditionnels : en cas de correction brutale du marché, leur mécanisme de liquidation tiendra-t-il le choc ? Toutes ces questions restent encore sans réponse. D’autant plus que le secteur des prêts cryptos est en soi un terrain à haut risque : BlockFi, Celsius et d’autres plateformes vedettes ont toutes sombré lors de crises de liquidité.
Les investisseurs doivent donc rester lucides et attentifs.
Vous pouvez surveiller la conception de leurs produits, les paramètres de ratio de collatéral, les règles de liquidation, ou même tester avec une petite position. Mais surtout, ne vous laissez pas tromper par les étiquettes « banque traditionnelle » ou « soutien politique » pour croire que tout est parfaitement sécurisé. Dans les actifs numériques, les imprévus ne tiennent jamais compte de l’origine de vos fonds.
La véritable règle de survie, c’est toujours d’évaluer les risques avec discernement et de contrôler son exposition.
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OldLeekNewSickle
· Il y a 4h
Encore une histoire de la "finance traditionnelle qui entre sur le marché", ça sonne bien, mais en réalité... Une petite banque avec une taille de 6 milliards veut se lancer dans l'infrastructure crypto ? Ça me fait rire, ce n'est rien d'autre que le prélude à un nouveau mécanisme pour tondre les petits investisseurs. On se souvient encore des leçons de BlockFi et Celsius, et voilà qu'un autre arrive avec un nouvel emballage. Faites attention à ne pas vous laisser éblouir par l'étiquette "liens politiques et commerciaux", ce sont ceux-là qui quittent le marché en premier lors d'une correction.
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ETH_Maxi_Taxi
· Il y a 14h
Encore une institution financière traditionnelle qui veut se lancer dans la crypto, cette fois-ci c’est une petite banque qui tente sa chance ? Pour être honnête, les leçons de BlockFi et Celsius ne sont pas encore oubliées.
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gas_fee_trauma
· Il y a 14h
Encore cette histoire selon laquelle « l’arrivée de la finance traditionnelle pourrait sauver le marché », ça devient lassant... Les petites banques oseraient-elles toucher aux prêts crypto ? Elles devraient prendre les cadavres de BlockFi et Celsius comme manuels scolaires.
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ReverseTrendSister
· Il y a 14h
Encore un nouvel acteur arrive, avec 6 milliards et l'ambition de construire des infrastructures. Ils se vantent pas mal, hein.
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governance_lurker
· Il y a 14h
Oser entrer dans le monde des cryptomonnaies avec 6 milliards de dollars ? Il faut vraiment avoir du cran, mais la leçon de BlockFi est encore fraîche dans les mémoires, alors mieux vaut rester prudent.
#数字货币市场洞察 La frontière entre la finance traditionnelle et le monde des cryptomonnaies vient une nouvelle fois d’être franchie.
Andy Beal, important soutien de Trump, a récemment lancé sa banque Monet sur le marché des prêts adossés à des actifs numériques. Cette banque communautaire, dont les actifs ne dépassent pas 6 milliards de dollars, affirme vouloir devenir un fournisseur d’infrastructures pour le secteur crypto. Qu’un établissement de cette taille ose s’engager sur ce terrain, cela a en effet surpris le marché.
À certains égards, c’est très symbolique. Autrefois, les grandes institutions financières fuyaient les activités liées aux cryptomonnaies ; aujourd’hui, même les petites banques commencent à prendre les devants, preuve que la régulation du secteur s’accélère. Pour les investisseurs particuliers, disposer d’un canal de prêt adossé à une banque traditionnelle peut théoriquement améliorer l’efficacité de l’utilisation des fonds. Avec une meilleure liquidité, l’activité du marché s’en trouvera également stimulée.
Mais attention à ne pas s’emballer trop vite.
Est-ce qu’une institution de la taille de Monet dispose vraiment des capacités de gestion des risques et des bases technologiques nécessaires ? La volatilité des actifs numériques dépasse largement celle des collatéraux traditionnels : en cas de correction brutale du marché, leur mécanisme de liquidation tiendra-t-il le choc ? Toutes ces questions restent encore sans réponse. D’autant plus que le secteur des prêts cryptos est en soi un terrain à haut risque : BlockFi, Celsius et d’autres plateformes vedettes ont toutes sombré lors de crises de liquidité.
Les investisseurs doivent donc rester lucides et attentifs.
Vous pouvez surveiller la conception de leurs produits, les paramètres de ratio de collatéral, les règles de liquidation, ou même tester avec une petite position. Mais surtout, ne vous laissez pas tromper par les étiquettes « banque traditionnelle » ou « soutien politique » pour croire que tout est parfaitement sécurisé. Dans les actifs numériques, les imprévus ne tiennent jamais compte de l’origine de vos fonds.
La véritable règle de survie, c’est toujours d’évaluer les risques avec discernement et de contrôler son exposition.