Cette narration sur la "nouvelle guerre des monnaies" mettant en vedette Bitcoin et MSTR, qui a explosé dans la communauté anglophone, est résumée de manière ultra-simple en 10 points clés :

1. Le conflit actuel n'est pas un cycle monétaire ordinaire, mais une collision directe entre l'ancien système monétaire (Réserve fédérale - banques) et le nouveau système (ministère des Finances - stablecoins - Bitcoin).

2. JPMorgan est passé de l'ombre à la lumière, utilisant la vente à découvert, la garde et des moyens narratifs pour défendre le contrôle financier du vieux système.

3. Le gouvernement pousse discrètement le pouvoir monétaire à revenir de la Réserve fédérale au ministère des Finances, en s'appuyant sur les stablecoins, les règlements programmables et le Bitcoin comme réserves stratégiques.

4. Bitcoin n'est pas un objectif mais un champ de bataille, les anciens et les nouveaux systèmes se disputent le pouvoir de domination de l'architecture monétaire future par des moyens de répression ou d'accumulation.

5, MSTR est devenu le pont de conversion clé pour le flux de capitaux en monnaie fiduciaire dans l'architecture du Bitcoin, devenant ainsi l'objectif central de l'attaque systémique de JPMorgan.

6. Le gouvernement pourrait finalement considérer MSTR comme un actif stratégique, voire adopter des méthodes telles que l'échange d'obligations contre des actions pour protéger sa position de "nœud de conversion".

7, Les deux parties luttent sur un ancien système financier extrêmement fragile, toute erreur de jugement pourrait entraîner des conséquences systémiques incontrôlables.

8, Le contrôle du conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale est le point clé ultime, la fenêtre politique est extrêmement étroite, et les élections de mi-mandat détermineront si la réforme peut se poursuivre.

9, L'ensemble du conflit est essentiellement une réorganisation du pouvoir monétaire selon une "échelle de civilisation", et non un débat financier ou partisan.

10. Bitcoin est devenu la ligne de démarcation entre deux futurs, et la victoire ou la défaite sera décidée par "les mathématiques et la rareté", et non par des institutions ou des forces politiques.