Vous vous êtes déjà demandé ce que les gens veulent dire lorsqu'ils parlent de blockchains de couche 1 (Layer-1) ? Voici l’essentiel : la couche 1, c’est en quelque sorte la fondation – la blockchain elle-même qui valide et enregistre chaque transaction.

Pensez à Bitcoin, Ethereum ou Solana. Ce sont des réseaux de couche 1. Ils gèrent tout au niveau de base : les mécanismes de consensus, les protocoles de sécurité et les règles fondamentales qui assurent le fonctionnement de l’ensemble du système. Pas d’intermédiaire, pas de couches supplémentaires nécessaires pour les opérations de base.

Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est au niveau des couches 1 que la décentralisation se produit réellement. Ce sont les réseaux sur lesquels d’autres applications viennent se construire. Lorsque les développeurs parlent de « solutions de scalabilité » ou de couches 2 (Layer-2), ils créent des outils qui fonctionnent AVEC la couche 1, sans la remplacer.

La couche de base détermine la vitesse des transactions, les garanties de sécurité et le degré de décentralisation d’un écosystème crypto. Bitcoin privilégie la sécurité et la décentralisation. Les couches 1 plus récentes expérimentent différents compromis – parfois des vitesses plus élevées, mais avec d’autres modèles de consensus.

En résumé : comprendre les blockchains de couche 1, c’est comprendre l’infrastructure réelle qui alimente la crypto. Tout le reste se construit à partir de là.