Pendant des années, le cycle de halving de quatre ans a servi de boussole aux traders : réduction des récompenses → rareté → rallye des prix → correction brutale. Prévisible comme une horloge. Mais voici ce qui est intéressant : ce schéma pourrait perdre de sa force.
Qu’est-ce qui a changé ?
Trois éléments bouleversent la donne :
Les institutionnels ont dompté la volatilité. Avant : les particuliers achetaient dans la panique, vendaient dans la panique, engendrant des variations de 70-80%. Désormais : BlackRock et consorts conservent des positions long terme, lissant les pics.
Les ETF Bitcoin servent de coussin. Autrefois, il fallait acheter du BTC en direct (risque, complexité) ; aujourd’hui, n’importe qui peut entrer via un ETF. Résultat : une demande plus stable, moins de chocs sur le prix.
La régulation est entrée en jeu. Les gouvernements et les régulateurs ne sont plus de simples spectateurs. Leurs actions comptent désormais autant que les halvings.
Ce que disent les chiffres
Anciens cycles : chutes de 70-80 %, reprises rapides et violentes
Prochain bear market : probablement une chute de 30-50 % (moins brutal qu’avant)
Le facteur baleines
Les gros détenteurs ont toujours du pouvoir. Les ventes massives déclenchent la panique chez les particuliers. Mais voici le twist : l’accumulation de baleines lors des baisses marque souvent le plancher, préparant le prochain rallye. On dirait qu’elles ont un radar pour détecter le fond.
Le macro compte désormais davantage
Avant, presque tout dépendait du cycle de halving. Aujourd’hui ? Le Bitcoin commence à évoluer avec les cycles économiques mondiaux. Une forte récession pourrait déclencher un bear market indépendamment du halving. C’est moins prévisible, plus “connecté au monde réel”.
Conclusion ?
Le cycle de halving reste important, mais il n’est plus le seul chef d’orchestre. La maturité du marché, l’adoption institutionnelle et la macroéconomie prennent le relais. Les traders qui s’en tiennent uniquement au schéma du halving pourraient être surpris. Le jeu a évolué.
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Le cycle de halving du Bitcoin n’est plus ce qu’il était
Pendant des années, le cycle de halving de quatre ans a servi de boussole aux traders : réduction des récompenses → rareté → rallye des prix → correction brutale. Prévisible comme une horloge. Mais voici ce qui est intéressant : ce schéma pourrait perdre de sa force.
Qu’est-ce qui a changé ?
Trois éléments bouleversent la donne :
Les institutionnels ont dompté la volatilité. Avant : les particuliers achetaient dans la panique, vendaient dans la panique, engendrant des variations de 70-80%. Désormais : BlackRock et consorts conservent des positions long terme, lissant les pics.
Les ETF Bitcoin servent de coussin. Autrefois, il fallait acheter du BTC en direct (risque, complexité) ; aujourd’hui, n’importe qui peut entrer via un ETF. Résultat : une demande plus stable, moins de chocs sur le prix.
La régulation est entrée en jeu. Les gouvernements et les régulateurs ne sont plus de simples spectateurs. Leurs actions comptent désormais autant que les halvings.
Ce que disent les chiffres
Le facteur baleines
Les gros détenteurs ont toujours du pouvoir. Les ventes massives déclenchent la panique chez les particuliers. Mais voici le twist : l’accumulation de baleines lors des baisses marque souvent le plancher, préparant le prochain rallye. On dirait qu’elles ont un radar pour détecter le fond.
Le macro compte désormais davantage
Avant, presque tout dépendait du cycle de halving. Aujourd’hui ? Le Bitcoin commence à évoluer avec les cycles économiques mondiaux. Une forte récession pourrait déclencher un bear market indépendamment du halving. C’est moins prévisible, plus “connecté au monde réel”.
Conclusion ?
Le cycle de halving reste important, mais il n’est plus le seul chef d’orchestre. La maturité du marché, l’adoption institutionnelle et la macroéconomie prennent le relais. Les traders qui s’en tiennent uniquement au schéma du halving pourraient être surpris. Le jeu a évolué.