Amazon a lancé son application de shopping à bas prix Bazaar dans 14 nouveaux marchés en Asie, en Amérique latine et au Moyen-Orient, visant directement Temu et Shein. La majorité des articles sont proposés à moins de 10 dollars, certains descendant jusqu’à 2 dollars.
Fait intéressant, Bazaar prend en charge Visa, Mastercard et American Express, mais ne propose pas de portefeuilles locaux ni d’options de paiement à la livraison — alors qu’aux Philippines, GCash ou au Nigéria, M-Pesa et autres paiements mobiles dominent largement. Cela ouvre des opportunités aux fintechs.
Amazon n’a pas révélé si sa stratégie logistique repose sur des entrepôts locaux ou sur la livraison internationale directe, ce qui déterminera les délais et les coûts de livraison. Certains analystes pensent que cela pourrait être intentionnel : d’abord conquérir le marché à coups de subventions, puis optimiser les profits.
Bazaar avait déjà été testé dans 11 régions, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon et l’Arabie saoudite. Cette grande expansion montre qu’Amazon entend véritablement rivaliser avec le fast fashion chinois ultra-rapide.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Amazon a lancé son application de shopping à bas prix Bazaar dans 14 nouveaux marchés en Asie, en Amérique latine et au Moyen-Orient, visant directement Temu et Shein. La majorité des articles sont proposés à moins de 10 dollars, certains descendant jusqu’à 2 dollars.
Fait intéressant, Bazaar prend en charge Visa, Mastercard et American Express, mais ne propose pas de portefeuilles locaux ni d’options de paiement à la livraison — alors qu’aux Philippines, GCash ou au Nigéria, M-Pesa et autres paiements mobiles dominent largement. Cela ouvre des opportunités aux fintechs.
Amazon n’a pas révélé si sa stratégie logistique repose sur des entrepôts locaux ou sur la livraison internationale directe, ce qui déterminera les délais et les coûts de livraison. Certains analystes pensent que cela pourrait être intentionnel : d’abord conquérir le marché à coups de subventions, puis optimiser les profits.
Bazaar avait déjà été testé dans 11 régions, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon et l’Arabie saoudite. Cette grande expansion montre qu’Amazon entend véritablement rivaliser avec le fast fashion chinois ultra-rapide.