Aave est en train de voter pour retirer CRV, UNI, ZK, BAL, LDO et d’autres actifs volatils de sa liste d’éligibilité au staking. La raison : lors du krach du 10 octobre, il y a eu un bond de 15 à 50 % en une seule mise à jour d’oracle, et les flux de prix retardés ont causé ~$200K en arbitrage non désiré.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : il existait un écart d’environ 58 % entre les prix de Chainlink et ceux des DEX. De plus, ces actifs généraient très peu de revenus : CRV seulement ~$80K annualisés sur les prêts, tandis que le staking combiné atteignait à peine $14K en trois mois.
La conclusion ? Le risque de créances douteuses ne vaut pas les revenus générés. Même des chercheurs DeFi comme Ignas ont voté pour les retirer.
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Aave est en train de voter pour retirer CRV, UNI, ZK, BAL, LDO et d’autres actifs volatils de sa liste d’éligibilité au staking. La raison : lors du krach du 10 octobre, il y a eu un bond de 15 à 50 % en une seule mise à jour d’oracle, et les flux de prix retardés ont causé ~$200K en arbitrage non désiré.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : il existait un écart d’environ 58 % entre les prix de Chainlink et ceux des DEX. De plus, ces actifs généraient très peu de revenus : CRV seulement ~$80K annualisés sur les prêts, tandis que le staking combiné atteignait à peine $14K en trois mois.
La conclusion ? Le risque de créances douteuses ne vaut pas les revenus générés. Même des chercheurs DeFi comme Ignas ont voté pour les retirer.