JPMorgan, Wells Fargo, Citigroup et HSBC sont déjà en train de le tester. Cela s’appelle le Système Financier Quantique (QFS) et c’est une affaire vraiment sérieuse.
Le plot twist de l’informatique
Les ordinateurs classiques utilisent des bits (0 ou 1). Les ordinateurs quantiques utilisent des qubits, qui peuvent être 0 et 1 en même temps. Ça paraît étrange, non ? Mais cela signifie qu’ils peuvent effectuer des calculs complexes des milliers de fois plus rapidement que n’importe quel superordinateur actuel.
Pourquoi les banques vont-elles devenir folles avec ça ?
Transactions instantanées : oublie les 3 à 5 jours d’attente pour les virements internationaux. Avec le QFS, ce serait l’affaire de quelques secondes.
Sécurité d’un autre niveau : le QFS utilise de la cryptographie quantique et l’intrication quantique. Si quelqu’un tente de pirater le système, l’état quantique change instantanément et l’alarme se déclenche. Il est impossible d’intercepter sans laisser de trace.
Détection des fraudes en temps réel : les algorithmes quantiques peuvent analyser les schémas de transactions et détecter les anomalies presque avant qu’elles ne se produisent.
Évaluation des risques plus précise : moins de surprises, moins de crises financières.
Le côté décentralisé
Contrairement au système financier actuel, le QFS est conçu sans point central de contrôle. Personne ne détient le pouvoir total, un peu comme fonctionne la blockchain.
La réalité
Pour l’instant, c’est plus théorique que pratique. Les banques en sont au stade du test, explorant comment intégrer cette technologie sans tout casser. Mais quand cela fonctionnera, cela va complètement changer la donne.
XRP et d’autres cryptos de paiement pourraient devenir pertinentes (ou obsolètes) selon l’évolution de cette technologie.
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Que se passerait-il si les banques utilisaient des ordinateurs quantiques pour déplacer ton argent ?
JPMorgan, Wells Fargo, Citigroup et HSBC sont déjà en train de le tester. Cela s’appelle le Système Financier Quantique (QFS) et c’est une affaire vraiment sérieuse.
Le plot twist de l’informatique
Les ordinateurs classiques utilisent des bits (0 ou 1). Les ordinateurs quantiques utilisent des qubits, qui peuvent être 0 et 1 en même temps. Ça paraît étrange, non ? Mais cela signifie qu’ils peuvent effectuer des calculs complexes des milliers de fois plus rapidement que n’importe quel superordinateur actuel.
Pourquoi les banques vont-elles devenir folles avec ça ?
Transactions instantanées : oublie les 3 à 5 jours d’attente pour les virements internationaux. Avec le QFS, ce serait l’affaire de quelques secondes.
Sécurité d’un autre niveau : le QFS utilise de la cryptographie quantique et l’intrication quantique. Si quelqu’un tente de pirater le système, l’état quantique change instantanément et l’alarme se déclenche. Il est impossible d’intercepter sans laisser de trace.
Détection des fraudes en temps réel : les algorithmes quantiques peuvent analyser les schémas de transactions et détecter les anomalies presque avant qu’elles ne se produisent.
Évaluation des risques plus précise : moins de surprises, moins de crises financières.
Le côté décentralisé
Contrairement au système financier actuel, le QFS est conçu sans point central de contrôle. Personne ne détient le pouvoir total, un peu comme fonctionne la blockchain.
La réalité
Pour l’instant, c’est plus théorique que pratique. Les banques en sont au stade du test, explorant comment intégrer cette technologie sans tout casser. Mais quand cela fonctionnera, cela va complètement changer la donne.
XRP et d’autres cryptos de paiement pourraient devenir pertinentes (ou obsolètes) selon l’évolution de cette technologie.