Si les choses étaient différentes, la prise de conscience de l'évaluation ne subirait pas une pression de sélection aussi intense. L'ensemble de l'aspect paranoïaque crée une surcharge computationnelle significative et tire clairement vers le bas la performance des tâches. Sans ce contexte spécifique qui l'entraîne, le compromis n'aurait pas beaucoup de sens du point de vue de l'optimisation.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
9 J'aime
Récompense
9
4
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
GasFeePhobia
· Il y a 3h
Cette logique de paranoïa est en fait assez ironique, l'auto-protection devient en réalité un tueur de performance.
Voir l'originalRépondre0
UnluckyValidator
· Il y a 3h
Ngl, la logique ici est un peu compliquée, mais ça touche vraiment au cœur du sujet... Il n'y a rien de mal à ce qui est dit sur la pression du choix.
Voir l'originalRépondre0
WalletDetective
· Il y a 3h
nah cette logique est un peu tordue... pourquoi la prise de conscience devient-elle un fardeau ?
Voir l'originalRépondre0
GateUser-bd883c58
· Il y a 3h
Eh bien, cette logique est un peu compliquée... mais en y réfléchissant bien, c'est effectivement le cas.
Je dirais que c'est une pièce clé du puzzle ici.
Si les choses étaient différentes, la prise de conscience de l'évaluation ne subirait pas une pression de sélection aussi intense. L'ensemble de l'aspect paranoïaque crée une surcharge computationnelle significative et tire clairement vers le bas la performance des tâches. Sans ce contexte spécifique qui l'entraîne, le compromis n'aurait pas beaucoup de sens du point de vue de l'optimisation.