La majorité des gens se concentrent sur le chiffre TPS, mais un projet fait quelque chose de plus fondamental — transformer le règlement en un service standardisé. Imaginez que toutes les chaînes et Rollups ne se contentent plus de communiquer séparément pour envoyer des données à Ethereum, mais qu’un « traducteur » unifié se charge de rassembler, organiser et synthétiser.
La voie de la modularité en soi ne pose pas de problème : la couche d’exécution fonctionne rapidement, la couche de données stocke de manière fiable, et la couche de preuve vérifie avec précision. Le problème réside dans l’interconnexion — chaque module ressemble à des fragments de puzzle dispersés, et l’expérience d’opération inter-chaînes est aussi délicate que de marcher sur un fil. C’est là qu’un « relais » doit intervenir : collecter les transactions de différentes couches d’exécution, les compresser et les vérifier de manière unifiée, puis les empaqueter dans un format de preuve compréhensible directement par Ethereum, avant de soumettre le tout à la chaîne principale pour la décision finale. Même les chaînes à haute performance doivent avoir une sortie fiable et déterministe.
Sur le plan technique, il ne suffit pas d’appliquer un cadre zk à la va-vite. L’essentiel est de maintenir la compatibilité avec le bytecode de la machine virtuelle d’Ethereum — les développeurs n’ont pas besoin de modifier leur code, leur portefeuille et leurs outils restent utilisables comme avant, avec un coût d’apprentissage quasi nul. Par ailleurs, des optimisations ont été apportées lors de la génération des preuves, rendant le processus plus rapide et moins coûteux, ce qui permet de faire passer la preuve à zéro connaissance du stade expérimental à un outil de règlement quotidien.
Une direction encore plus intéressante est la commercialisation de la génération de preuves : à l’avenir, tout nœud disposant de puissance de calcul pourra participer à la production de preuves, transformant la capacité de règlement en un produit échangeable. Si cette idée se concrétise, l’efficacité de la collaboration dans l’écosystème modulaire atteindra un nouveau palier.
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MetaMisery
· Il y a 13h
Il semble que tout le monde ait enfin compris que zk ne peut pas seulement augmenter le TPS.
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CodeZeroBasis
· Il y a 13h
Il faut aussi regarder la partie du mécanisme de consensus.
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TokenomicsDetective
· Il y a 13h
Ce travail n'est pas aussi simple qu'on l'imaginait
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PretendingToReadDocs
· Il y a 13h
Les promesses de plusieurs centaines de milliers de TPS peuvent-elles encore gagner ?
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MetaverseVagabond
· Il y a 13h
Enfin, quelqu'un s'intéresse à la santé écologique...
La majorité des gens se concentrent sur le chiffre TPS, mais un projet fait quelque chose de plus fondamental — transformer le règlement en un service standardisé. Imaginez que toutes les chaînes et Rollups ne se contentent plus de communiquer séparément pour envoyer des données à Ethereum, mais qu’un « traducteur » unifié se charge de rassembler, organiser et synthétiser.
La voie de la modularité en soi ne pose pas de problème : la couche d’exécution fonctionne rapidement, la couche de données stocke de manière fiable, et la couche de preuve vérifie avec précision. Le problème réside dans l’interconnexion — chaque module ressemble à des fragments de puzzle dispersés, et l’expérience d’opération inter-chaînes est aussi délicate que de marcher sur un fil. C’est là qu’un « relais » doit intervenir : collecter les transactions de différentes couches d’exécution, les compresser et les vérifier de manière unifiée, puis les empaqueter dans un format de preuve compréhensible directement par Ethereum, avant de soumettre le tout à la chaîne principale pour la décision finale. Même les chaînes à haute performance doivent avoir une sortie fiable et déterministe.
Sur le plan technique, il ne suffit pas d’appliquer un cadre zk à la va-vite. L’essentiel est de maintenir la compatibilité avec le bytecode de la machine virtuelle d’Ethereum — les développeurs n’ont pas besoin de modifier leur code, leur portefeuille et leurs outils restent utilisables comme avant, avec un coût d’apprentissage quasi nul. Par ailleurs, des optimisations ont été apportées lors de la génération des preuves, rendant le processus plus rapide et moins coûteux, ce qui permet de faire passer la preuve à zéro connaissance du stade expérimental à un outil de règlement quotidien.
Une direction encore plus intéressante est la commercialisation de la génération de preuves : à l’avenir, tout nœud disposant de puissance de calcul pourra participer à la production de preuves, transformant la capacité de règlement en un produit échangeable. Si cette idée se concrétise, l’efficacité de la collaboration dans l’écosystème modulaire atteindra un nouveau palier.