Pfizer vient de jouer le jeu politique et a gagné gros. Le géant pharmaceutique a conclu un accord avec la Maison Blanche qui les exempt des droits de douane sur les produits importés. Bien que l'action ait augmenté modestement de 0,10 %, les implications à long terme pourraient être substantielles.
J'ai observé Pfizer naviguer dans les eaux réglementaires pendant des années, et cette manœuvre est particulièrement astucieuse. Alors que d'autres entreprises subissent une pression croissante en raison des tarifs d'importation, PFE a essentiellement sécurisé un avantage concurrentiel grâce à des connexions politiques. Le moment ne pourrait pas être mieux choisi alors que les chaînes d'approvisionnement mondiales restent sous pression.
Ce qui est frustrant, c'est la façon dont ces accords en coulisse créent un terrain de jeu inégal. Les petites entreprises pharmaceutiques n'ont pas le pouvoir de lobbying pour obtenir de telles exemptions. Cet accord renforce essentiellement la domination des géants de l'industrie au détriment de l'innovation des acteurs plus petits.
En regardant la réaction du marché, les investisseurs semblent prudemment optimistes. Le mouvement minimal de l'action suggère que la rue s'attendait soit à ce mouvement, soit qu'elle attend de voir l'impact financier réel avant de faire des paris plus importants.
Les analystes de Motley Fool n'ont pas inclus Pfizer dans leurs meilleurs choix d'actions, ce qui me fait me demander si cet accord tarifaire est suffisant pour surmonter d'autres défis auxquels l'entreprise est confrontée. Leur historique avec des choix comme Netflix (621,976% de retour) et Nvidia (1,150,085% de retour) mérite de l'attention, bien que je reste sceptique quant à la possibilité de reproduire de tels rendements astronomiques de manière cohérente.
Pour les investisseurs détenant des PFE, cette exonération tarifaire offre une marge de manœuvre dans un environnement commercial mondial de plus en plus complexe. Mais la question demeure : éviter les tarifs est-il suffisant pour rendre cette action véritablement attrayante par rapport à des acteurs plus dynamiques dans le secteur de la santé ?
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L'accord de Pfizer avec la Maison Blanche : une échappatoire tarifaire
Pfizer vient de jouer le jeu politique et a gagné gros. Le géant pharmaceutique a conclu un accord avec la Maison Blanche qui les exempt des droits de douane sur les produits importés. Bien que l'action ait augmenté modestement de 0,10 %, les implications à long terme pourraient être substantielles.
J'ai observé Pfizer naviguer dans les eaux réglementaires pendant des années, et cette manœuvre est particulièrement astucieuse. Alors que d'autres entreprises subissent une pression croissante en raison des tarifs d'importation, PFE a essentiellement sécurisé un avantage concurrentiel grâce à des connexions politiques. Le moment ne pourrait pas être mieux choisi alors que les chaînes d'approvisionnement mondiales restent sous pression.
Ce qui est frustrant, c'est la façon dont ces accords en coulisse créent un terrain de jeu inégal. Les petites entreprises pharmaceutiques n'ont pas le pouvoir de lobbying pour obtenir de telles exemptions. Cet accord renforce essentiellement la domination des géants de l'industrie au détriment de l'innovation des acteurs plus petits.
En regardant la réaction du marché, les investisseurs semblent prudemment optimistes. Le mouvement minimal de l'action suggère que la rue s'attendait soit à ce mouvement, soit qu'elle attend de voir l'impact financier réel avant de faire des paris plus importants.
Les analystes de Motley Fool n'ont pas inclus Pfizer dans leurs meilleurs choix d'actions, ce qui me fait me demander si cet accord tarifaire est suffisant pour surmonter d'autres défis auxquels l'entreprise est confrontée. Leur historique avec des choix comme Netflix (621,976% de retour) et Nvidia (1,150,085% de retour) mérite de l'attention, bien que je reste sceptique quant à la possibilité de reproduire de tels rendements astronomiques de manière cohérente.
Pour les investisseurs détenant des PFE, cette exonération tarifaire offre une marge de manœuvre dans un environnement commercial mondial de plus en plus complexe. Mais la question demeure : éviter les tarifs est-il suffisant pour rendre cette action véritablement attrayante par rapport à des acteurs plus dynamiques dans le secteur de la santé ?