Comment Pablo Escobar blanchirait-il de l'argent de nos jours ?

Imaginez. Pablo Escobar au sommet de son empire du mal. Environ 420 millions de dollars par semaine. La folie. Presque 22 milliards par an ! On dit que sa fortune totale s'élevait à 140 milliards. Le criminel le plus riche de l'histoire, sans doute.

Avec une telle somme d'argent, il lui aurait clairement fallu ruser. Il semble logique de diviser ces énormes montants. Petites parties. De nombreux portefeuilles électroniques. Transferts quotidiens.

Disons, 60 millions chaque jour pour acheter des monnaies spéciales. Monero, Zcash. Incroyablement difficile à suivre. Ils utilisent des méthodes de cryptage avancées. Pas de traces.

Son réseau de portefeuilles numériques serait colossal. 50 000 dollars de chaque adresse individuelle. En crypto et de nouveau en stablecoins comme l'USDC. Astucieux.

Par mois – environ 1,8 milliard d'argent blanchi. Impressionnant. Il changerait constamment de schémas. Investissait une partie dans des entreprises légales. Jouait sur les marchés. Créait une illusion de légalité. On ne sait pas vraiment s'il aurait pu tout cacher complètement, mais cela semble réel.

Son choix de cryptomonnaies serait prévisible :

1. Monero – des signatures de cercle ou quelque chose comme ça. Pratiquement impossible à tracer.

2. Zcash – quelque chose comme "du verre opaque". Les détails des transactions sont cachés.

3. USDC – une stablecoin pour les opérations courantes.

Une telle combinaison aiderait à effacer les traces. Même avec ses sommes astronomiques. Bien que, qui sait...